« (...) la progression de Massaï (...) : il se bat sur tout le champ d’action en faisant front avec vaillance des deux côtés. Une tactique de repli en se positionnant à voir venir. Puis des accélérations offensives, telles ces envolées derrière Moine et Ferriol. Convaincant, rentre sa deuxième ficelle sans Carmen qui lui fait défaut.

(...) Dartagnan : ce jeune élément, aux cornes effilées, a les défauts de sa jeunesse. Malgré tout, il les rectifie et les canalise, notamment après Ferriol en 9 minutes ».

Extrait, Patrick Pons, « Avenir, Eyguières : Ferriol et David Maurel à l’assaut des Alpilles », La Provence, 13/08/2012.

« (…) Surpris en 45 secondes aux rubans, Massaï le guerrier noir se livre avec beaucoup de vaillance aux ficelles durant sept minutes ponctuées par des actions après Chig et Faure. Un joli potentiel. Trois Carmen et retour … ».

Extrait, Eric Auphan, « Avenir, Cavaillon : Lucas et les autres », La Provence, 24/09/2012.

« La popularité des courses de tau ne faiblit pas. Pour preuve, ce nouveau plein, mercredi dans les arènes des Saintes-Maries-de-la-Mer (…). Le Parc Naturel Régional de Camargue fêtait cette année les 30 ans de cette manifestation (…).

Le PCNR et le Comité d’Organisation des fêtes saintoises ont donc proposée cette trentième finale avec tout le faste adéquat (…). Le jury avait sélectionné 8 tau sur les 48 présentés [dans les courses précédentes].

(…) Avec des bestiaux de 4, 5, voire 3 ans, l’inconnue est totale, même si l’on peut  déceler  des qualités naissantes (…). Le n° 958 de Pagès : le ternin, ultra rapide, s’essouffle rapidement à partir après tout ce qui bouge, jusqu’en contre piste. Mais il faut bien que jeunesse se passe… (…) ».

Extrait, Annelyse Chevalier, « Les Saintes-Maries-de-la-Mer, Mercredi dernier : le n. 829 de la manade Gillet couronné », La Provence, 8/11/2012.

 « (…) Le taù n° 958 [du manadier Pierre Pagès] a obtenu cette année le premier prix [des 3 ans] de la compétition saintoise qui, depuis 1983, porte le nom du célèbre manadier disparu Marcel Mailhan. (…) Trente ans écoulés où quelques 1577 étalons ont foulé le sable avant de devenir pour certains de très grands cocardiers comme Mignon, Angelo ou d’autres. Une centaine de manades ont déjà participé à la compétition qui attire toujours autant d’aficionados ».

Extrait, Domynique Azema, « Sur les terres du meilleur Tau. La manade Pagès a gagné le 1^er prix des 3 ans », Midi Libre, 30/11/2012.